Pâtes, riz, pommes de terre : comment éviter la routine ?

Les féculents sont généralement bien appréciés et il ne faut pas se priver de ces aliments. Il est cependant facile de s’en lasser voire de s’en dégouter! Les quelques astuces suivantes vous aideront à varier les féculents pour éviter la monotonie du plat de pâtes quotidien.

Multiplier les modes de préparation des féculents

Prenons l’exemple du riz. il existe de multiples manières de le cuisiner : pilaf, classique, en risotto …

Idem pour les pâtes que vous pourrez déguster avec un peu de parmesan ou sautées avec des légumes voire de la sauce soja, pour une version plus exotique.

Quant aux pommes de terre, pourquoi ne pas les essayer écrasées avec un poisson, façon parmentier, en salade estivale ou tout simplement sautées.

Il existe également des aides culinaires tels les bouillons de volaille qui permettent d’assaisonner facilement les féculents lors de la cuisson ou au moment de la dégustation.

Choisir des variétés de féculents différentes

Il existe un choix important de pains, céréales, pâtes et riz qui permettent d’apporter de la diversité. Pour faire d’une pierre deux coups, vous pouvez opter pour des féculents dits « complets ». Ils apportent des fibres, bien utiles pour le transit intestinal et sont riches en vitamines et minéraux.

Pensez aux légumineuses et au maïs

Les légumineuses sont des féculents qui possèdent de nombreux atouts nutritionnels .Alors pourquoi ne pas remettre au gout du jour haricots rouges, pois chiches, lentilles ? Ils sont économiques et pratiques à stocker et cuisiner. Quant au maïs, il pourra, par exemple, accompagnez vos salades.

Pain et céréales : privilégiez la qualité

Si le pain et les céréales font partie intégrante des féculents, il est indispensable de les choisir de bonne qualité. Privilégiez les pains du boulanger de type baguette de tradition. Quant aux céréales du petit déjeuner, choisir un muesli aux fruits sans sucre ajouté est un excellent choix pour bien démarrer la journée. Par contre, les céréales transformées très grasses et sucrées sont à limiter.

Bibliographie